L’association et le partage avec les habitants du Baie du Cap, sont les fondations du programme immobilier Anbalaba. Une posture requise par son jeune promoteur Hippolyte Bouigue, de la mise sur rail du projet jusqu’à sa forme finale.
S’installer oui, mais avec bienveillance, dans le respect de l’existant, qu’il soit humain ou environnemental. C’est tout le crédo d’Hippolyte Bouigue, développeur d’un projet immobilier, une enclave de villas, d’appartements et de maisons à flanc de colline, en surplomb du paisible village de Baie du Cap. En pente et offrant un beau panorama sur le lagon, les terres, un foncier de quinze hectares ont été acquises par le père voilà neuf ans, premier de la famille à être tombé sous le charme de cette partie verte et sauvage de Maurice. Il aura fallu que l’eau coule sous quelques ponts mauriciens et dévale le cours d’une décennie entière bientôt, pour qu’Anbalaba germe d’abord sous la forme d’une petite chansonnette obsédante. Jusqu’à transformer un songe en intention construite, puis concentrer les moyens financiers et humains pour lancer le projet.
Expliquer avec des dépliants en créole
Tout démarre en février dernier, avec des prospectus en créole distribués aux habitants de Baie du Cap pour expliquer ce qu’est le projet Anbalaba. Car pas question pour Hippolyte Bouigue d’arriver en conquistador moderne, de s’isoler dans une villa extra large, de tra cer sa route en étranger solitaire sans porter attention à l’environnement proche. Non, le jeune promoteur veut lui, entendre les Mauriciens installés sur cette bande côtière rieuse de l’île, sur plusieurs générations déjà, leur expliquer sa vision de l’immobilier, créer de l’interaction entre bonnes volontés, diffuser auprès d’eux les décisions prises. Une certaine philosophie qui finit par se savoir, se répandre aux alentours. Les talents de Baie du Cap se réveillent et demandent à accompagner le projet. Un comptable rejoint l’équipe, un photographe fixe les images dédiées aux outils de communication. Une aubaine pour eux comme pour d’autres personnes, que de travailler dans ce coin retiré de l’île grâce à Anbalaba. Les propositions de volontaires au travail sont nombreuses, les idées, dont celle de monter une crèche, de créer une bibliothèque sont émises. Tout est écouté, car le champ du possible est vaste, comme envisagé par le promoteur. L’âme d’Anbalaba sera forgée d’ailleurs dans la veine de ce lien fusionnel créé dès le départ avec les villageois. Au delà de l’îlot dédié à l’immobilier de luxe, le promoteur veut créer un espace de vie qui soit commun aux villageois de Baie du Cap et aux résidents des villas et des appartements. Ce sera le « Village Anbalaba ». Ce lieu d’intégration regroupant magasins, restaurants, ouverts à tous est la signature de l’IRS du Sud, celle qui le distinguera des autres programmes. Le promoteur veut aussi amener la culture, le sport, la vie en somme, à l’intérieur d’Anbalaba, sous forme de concerts ou de tournois.
Prendre part à la vie du village aussi
Volonté d’association et de partage avec la localité de Baie du Cap et ses habitants dépasse aussi le seul périmètre de l’IRS. Elle se matérialise sous forme d’une Maison du dialogue pour les habitants, d’une fondation, dont la vocation est d’améliorer le cadre de vie des villageois – en aménageant des habitations par le biais de chantiers-écoles – et de promouvoir les talents locaux, par des formations aux métiers de l’artisanat. Hippolyte Bouigue met également de l’ardeur à remonter l’équipe de foot de Baie du Cap et à créer de temps à autre des missions vertes pour nettoyer la plage. Car il le sait, association et partage sont susceptibles de faire naître une autre forme de tourisme, tourné vers davantage de générosité, intégrateur de valeurs humaines. Ce sont elles qui rendent un projet durable, car accepté par la communauté locale. Il veut être d’une nouvelle génération de promoteurs, des bâtisseurs de valeur ajoutée, dont une précieuse parmi toutes, celle de la sincérité de l’intention en faisant de son projet le levier de développement de toute une région.
Un nom qui chante l’identité culturelle mauricienne
Hippolyte Bouigue a baptisé son projet du nom d’une chanson mauricienne très populaire, le séga du mauricien Claudio Veeraragoo, « Anbalaba » ou en bas là-bas, c’est-à-dire en bas, vers le Sud, la partie la plus authentique de l’île, la plus verte aussi, là où le littoral est essaimé de paisibles villages de pêcheurs et où les caprices de la mer rythment la vie de ses habitants. Un supplément d’âme, que l’artiste peintre mauricien Vaco a parfaitement saisi dans une œuvre originale, laquelle a inspiré l’identité graphique du projet. Car l’IRS Anbalaba possède un lien profond avec l’Île Maurice et sa culture, c’est ce qui le rend résolument différent, humain et attachant.
Le concept Anbalaba
- 18 villas pourvues de larges piscines, ouvertes sur la nature et tournées vers l’océan.
- 33 maisons en terrasses avec piscine, dont certaines avec des vues sur le lagon.
- 18 appartements de 3 chambres avec panorama.
- 5 grands terrains à bâtir pour concevoir des villas sur mesure.
- Un Pool & Spa Club où déjeuner et profiter de la piscine.
- « Anbalaba Village » avec ses commerces et services de proximité, une halle ouverte pour accueillir le marché et ses produits locaux, et les événements culturels.
- Des bureaux à louer et un boat house pour gérer et entretenir les bateaux des résidents.
- Un service de conciergerie fonctionnant 7j/7 et 24h/24.
CONTACT PROMOTEUR
BOUIGUE DEVELOPPEMENT
contact@anbalaba.com
Site Internet : Anbalaba
Tél France : +33 (0)1 56 02 03 13
Tél Maurice : +230 622 11 39