Le projet qui a suscité un vaste débat à cause du risque de dégradation d’une zone naturelle humide, située sur le site qui doit accueillir l’hôtel, a obtenu du ministère de l’Environnement, en décembre dernier, son certificat EIA – Environmental Impact Assessment -. Mais à l’issue de nombreuses concertations entre le groupe Beachcomber et les ministères de l’Environnement de la Pêche et des Terres, il a été convenu que les travaux entrepris dès février 2019 concerneront seulement la création d’une nouvelle zone humide sur 20 arpents, aménagée à l’arrière de l’hôtel – 310 chambres et 56 unités familiales -. Ceux relatifs à l’établissement hôtelier qui devrait s’ouvrir au public en août 2020 ne débuteront, eux, qu’à l’issue de l’achèvement de la nouvelle zone humide.